Ollie Hole - DONE !!

 Voilà cela faisait déjà quelques temps que je vous parlais de mon exposition photo au magasin Menthalo à Biarritz. C'est fait, le vernissage s'est très agréablement déroulé, du monde et une bonne ambiance à la clef !

Je profite de cet article pour remercier deux personnes, tout d'abord Yohan Colin, pour son coup de main et son coup d'œil qui m'ont permis d'aller jusqu'au bout du projet. Il a d'ailleurs réalisé le petit film (ci-dessus) pour montrer le travail effectué sur ces photos. Je tiens également à remercier Sonia de chez Menthalo qui m'a accueilli avec mes photos.

L'exposition reste visible jusqu'à la fin du mois de juillet, je vous invite donc à passer au magasin pour voir mon travail.

See you !

Biscarrosse, la mer, la plage et les vagues

Crédit photo - Guillaume Arrieta

Décidément les Landes je commence à en manger, me voilà parti dans le Nord pour suivre la première manche du Bodysurf Challenge à Biscarrosse. Arrivé pas très très frais le matin, me voilà avec mon matériel direction les premières séries. À peine arrivé sur le lieu de la compétition (à la plage du Sud, en face de la cabane du club de Bisca'), je réalise que la journée risque d'être... longue. Une faible houle, la marée qui monte bref rien de bien chatoyant, mais une fois de plus l'ambiance du bodysurf a su changer la donne !

Crédit photo - Guillaume Arrieta

Crédit photo - Guillaume Arrieta

L'accueil et l'organisation du club se sont avérées au TOP, le buffet a d'ailleurs été élu "meilleur buffet du championnat" (avec 9,5/10 ça risque d'être difficile à battre, Anglet et Biarritz accrochez vous !!).

 Le manque de conditions m'a permis de découvrir un peu l'arrière de l'organisation. D'abord la partie gérée par le club "Lou Bisca" qui recevait, un buffet en partenariat avec Super U, des bénévoles prêt à mettre la main à la patte et... des bières fraiches dès midi ! (ce dernier point ayant, après quelques litres de consommation, permis à certains une belle sieste en plein soleil...)

Crédit photo - Guillaume Arrieta

Crédit photo - Guillaume Arrieta

J'ai également pu faire un tour du côté des juges avec Dimitri (vice-champion de France universitaire de Bodysurf) qui avait été choisi pour noter la finale Open. Trois juges dont un juge principal (Mr Papagiorgiou en l'occurrence) présent pour harmoniser les notations et éviter les contestations.

Les juges en plein travail - finale catégorie open

Bureau d'un juge, bureau d'un jour pour Dimitri

Tout l'esprit du bodysurf

 En termes de résultats c'est Yann Badina dit "Le Roux" qui empoche les points de la victoire grâce à un 360 à la fin de la série, en seconde place on retrouve Fred David qui rentrait de Pipeline. Pour conclure le podium, Jean François Sarda qui était également de la partie à Hawai, en quatrième position on retrouve Joel Badina !

Podium catégorie Open

Pascal Balavoine, vainqueur en catégorie mastert et co-organisateur

Pour l'accès à la galerie photo je vous joins deux liens, mon album disponible ici et celui d'Alain ici

OLLIE HOLE - exposition photo

Après une "première fois" au café Ono en Novembre 2010, je réalise un nouveau projet en exposant des photos au magasin Menthalo à Biarritz à partir du 24 Juin 2011. Le vernissage aura lieu le soir même à partir de 18h, cette exposition a pour but de raconter l'usure du skate. Je ne parle pas ici d'une quelconque lassitude mais de l'usure des shoes, des boards qui cassent, des trous... dues à la répétition des tricks.

Car ceci est peut-être la part la plus paradoxale du skateboard, pour réussir à rentrer des tricks il va falloir en user, ce n'est pas un sport ou tout vous tombe dessus en un clin d'œil ! Les trous, les lacets détendus, les déchirures des vêtements, voilà une partie de ce qui fait l'identité du skateur (hormis le fait qu'il utilise une board). Via cette exposition je pousserai le concept jusqu'au bout puisque comme vous pourrez le voir les photos seront collées sur de vielles planches usagées, quelques vieilles paires de shoes, de vieux jean viendront s'ajouter à cette ambiance de l'usure.

Le tout sera agrémenté de petits goodies tout droit venus de chez Vans.

Je ne vous en dis pas plus sur le thème, les photos seront tirées de travaux en argentique et pour certains en double exposition comme je vous en ai déjà parlé un peu plus tot. Pour plus d'informations je vous dirige vers ce lien: OLLIE - HOLE

Le HRD c'est beau...

Un petit coup de gueule, rien de méchant comme d'habitude, à prendre au second degrés évidemment !
Une petit gueulante sur ce cher Hrd. NON ce ne sont pas les initiales d'un politique assoiffé de sexe et de femmes de chambre mais un procédé visant à faire des photos encore plus folles que jamais t'aurais pu te l'imaginer toi même ! J'aime le Hrd (non j'deconne).

Allé franchement, une bonne vieille pose longue, ou tu te pèles les couilles en appuyant sur ton déclencheur, ça a vraiment son charme. Tu ne passes absolument pas pour un gland en restant le doigt appuyé au minimum 30 secondes, moins c'est pas drôle, sur ton foutu déclencheur ! La photo est réalisée en 3 minutes, en prime tu gagnes soit un rhume soit un coup de lune (ouais un coup de soleil pour ce type de photos y faut vraiment en vouloir !). En somme tu es un GAGNANT de la vie !

Crédit photo - Guillaume Arrieta

Bon voilà, pendant que certains font avancer les choses y reste toujours des gros connards (moi en l'occurrence) qui reculent.
Vive la France, les Français et les cons !

See you

Exposition + Exposition = double exposition

Voilà, il y a quelques temps maintenant il m'est arrivé un "accident" avec mon appareil argentique, la pellicule de 36 poses a dérapé dès la première pose et... voilà ce que ça a donné:

Crédit - Guillaume Arrieta

Évidemment j'ai vite compris que toutes mes prises de vues étaient venues s'échouer sur la même partie de la pellicule donnant ce résultat qui, au premier abord est assez surprenant. Du coup au lieu de rester esclave de cette pratique, je me suis mis renseigné et je suis tombé sur des spécialistes de cette technique: comme ce travail assez impressionant.

Jérémy, un pote à moi a également commencé à bien user de cette technique, son boulot est visible ici.

Étant donné que je prépare une exposition sur le skate, je me suis mis en quête de nouvelles prises de vues qui sont décuplées par cette technique. Voilà le premier résultat, le reste dormant bien au chaud dans mon ordi pour l'expo.

Crédit - Guillaume Arrieta

Voilà, la prochaine pellicule va surement aller faire un tour en Espagne avec Jérémy, histoire de compléter mes prises de vues nécessaire à cette exposition dont je vous reparlerai dans peu de temps.

En vous souhaitant un bon weekend qui d'après la PN de Canal + sera... pluvieux. Hé oui on ne peut pas être belle et tout le temps prévoir du beau temps !

See you

Le Sud-Est débarque: choc des civilisations

Cette histoire commence comme souvent par une rencontre, c'était il y a deux ans, Thibault Parise gère alors le tour de France de la team Sector 9. Lui et ses potes des U.S avaient décidé de laisser quelques traces de gommes un peu partout en France et évidemment le Pays-Basque n'a pas pu y échapper... ne vous inquiétez pas ils y ont aussi laissé de la peau, faut pas déconner non plus ! 

À l'époque installé au Sud-Est, dans un village appelé Nice, le voilà qui a débarqué depuis peu "là-haut"... dans les Landes, contrée pleine de sables et d'arbres.

Du coup je me suis senti obligé de lui montrer que derrière les dunes, il y avait "un autre monde" une fois quitté le 40 (j'vais m'faire des amis sur ce coup là c'est sûr !), pour cette première fois Thibault avait ramené un rider de chez Sector 9, un mec de Paris Marseille: Max'.

Bien décidé à pas faire le voyage à vide, je me dis que Thibault ne l'a pas embarqué pour rien et... j'ai pas été déçu du voyage. En fait c'est le type de mec qui a la fâcheuse tendance à tout rendre... "easy, verrry easy". Une faculté déconcertante à s'adapter à n'importe quel spot, là ou certains enchainent les pré-runs, les pré-pré-runs et les séances de chill; ici pas le temps pour cruiser, ça envoie sec et en direct !

Un nose grab ?

Le voilà servi sur un plateau sous les yeux de Thibault, pour ce qui est du remplissage de la carte mémoire je crois qu'il ne devrait pas y avoir trop de problèmes !

Et puis là c'est le drame, tout bascule... Max ne lâche plus cette partie du bowl, la pauvre courbe qui n'avait rien demandé en aura pris pour son grade et, bin... comment dire ? Ne rien dire je vous laisse juger par vous même: un flip front, collé à plusieurs reprises

  

 Une fois rassasié du spectacle, Thibault décide de mettre sa couche perso' et se paye un boneless assez couillu dont il a le secret, direct dans l'extension:

Il y ajoute un Rock & Roll que je qualifierai de... FATESQUE (de l'anglais "fat", ajoutez-y le suffix "esque" pour un effet de gros), à l'image de la board sector 9 qu'il ride.

Une belle après midi qui se conclue par un macdo (histoire de faire mousser les abdos),

À cette occasion Thibault nous a gratifié d'une bonne séance "fais l'amour à la caméra", or là ça a finit dans mon appareil photo du coup j'ai comme l'envie de vous le faire partager; ça restera comme le petit mot de la fin !

See you

Pour voir les produits Sector 9, cliquez ici

En ce qui concerne Thibault, si son charme ne vous laisse pas de glace, même si vous allez voir la photo qui se situe à un clic de souris de vos yeux, allez faire un tour sur son blog: Tibs

Maider Arosteguy 2011

Bien avant d'être le nom associé à l'une des plus anciennes compétitions de surf de France, Maider Arosteguy était une femme amoureuse de l'océan qu'elle affectionnait au point de s'y baigner tous les jours avec ses amis de l'association Biarrotte des "Ours Blancs". Malheureusement le 8 Avril 1984 marque le jour de la baignade de trop pour cette figure emblématique de la ville de Biarritz. En hommage à cette dernière, Robert Rabagny (oui oui l'indien du B.O) a décidé de créer cette compétition de surf rassemblant les meilleurs surfeurs français et européens  qui se déroule lors des weekend de Pâques. Voilà pour "la petit histoire"...

C'est aujourd'hui une "classique" qui fête ses 27 ans, le cap de la trentaine s'approchant à grand pas. En ce weekend de Pâques les cloches avaient évidemment porté des oeufs en chocolat, mais également du vent, trop de vent ce qui malgré une belle houle, a très fortement dégradé le plan d'eau le rendant très technique. Cela n'a pas empêché les quelques 200 concurrents de surfer du samedi au lundi. (Ici Patrick Beven)

Les finales ont été suivies par un public présent malgré le temps indécis, c'était pas Beyrouth non plus mais l'ambiance était là, tout particulièrement "en-haut" au casino.

Des vagues techniques, et du beau monde en finale chez les filles avec Maud Lecar, Fanny Brice (photo ci-dessus), Justine Dupond (ci-dessous) ou encore Alizé Arnaud.

 Les finales se sont jouées de manière tactiques, la sélection des vagues primant, à ce jeu là c'est Maud Lecar (sociétaire du club de Saint-Martin dans les Antilles, quand je vous disais que les surfeurs venaient de toute la France, c'était pas du bluffe - ci-contre), Justine Dupont termine seconde, Arnaud Alizée vient compléter le podium.

 Du côté des garçons, le niveau de la finale promettait du beau spectacle et ce  grâce aux quatre finalistes:

Ici Jules Thomet de l'Anglet Surf Club

Hugo Palmarini du club d'Hendaye

Avec un surf tactique et engagé, c'est P.V Laborde (ci-dessus) qui l'emporte en Open chez les gras, Patrick Beven termine second (photo n°1) et Jules Thomet troisième. Hugo Palmarini boucle cette finale en quatrième position mais garde le sourire ce qui illustre bien l'esprit de cette compétition qui est devenue au fil des ans une grande réunion des compétiteurs avant leurs départs pour les différentes compétitions autour du monde.

À noter qu'il se pourrait bien que le Maider Arosteguy prenne pour son 28ième anniversaire une envergure plus importante encore puisque l'épreuve pourrait être inscrite au circuit Pro Junior de l'ASP.

Les révisions pour les partiels reprennent pour moi, en vous souhaitant une joyeuse Pâques bien en retard.

See you